Obiecte Zburatoare

C o n t e n u

2.1   Pourquoi la Terre est-elle vide a l'interior?
2.2   Pourquoi? - La surface interieur de la Terre est-elle illumine toujours par le soleil.
2.3   Arguments Scientifiques - Pourquoi? – L'axe de rotation de la Terre est-il incline et pourquoi, les jour alternent avec les nuits ainsi que les saison sur la surface interieure de la Terre, se succedent de maniere cyclique et a des intervales donnes.
2.4   Arguments scientifiques - Pourqui? - Les pôles magnétiques ne se trouvent pas sur l'axe de rotation de la Terre.
2.4.1   Pourquoi les corps sur la surface intérieur de la Terre ont le meme poids que les corps se trouvant sur la surface extérieure de la Terre.
2.4.2   Porqui au pôles, en fonction des saisons, sur les marges intérieures des orifices d'entrée de pres de 2000 Km de diametre, le climat est chaud et apparaissent egalement les nuits polaires.
2.4.3   Arguments scientifiques - Preuves de la Terre vide - par les preuves avec les vieilles notes.
2.4.4   Arguments scientifiques - Preuves de la Terre vide, des inscriptions et notes plus recentes.
2.4.5   Arguments scientifiques - La theorie de la Terre creuse (telle qu'elle a été mentionnée dans d'autres publications)
2.4.6   Autres arguments scientifiques - Portant sur la theorie de la terre creuse.
2.4.7   Arguments scientifiques - A travers des decouvertes geographiques -
2.4.8   Arguments scientifiques - par la carte de Piri Reis - .
2.4.9   Temoignages incommodes concernant la configuration reele de la Terre.
2.4.10   D'autres arguments scientifiques - Pourquoi l'axe de la Terre est inclinee par rapport du plan de son orbite eliptique avec 23 degres et 27 minutes.
2.4.11   Des Arguments scientifiques - Pourquoi l'aiguille de la boussole n'indique pas la position du nord geographique.
2.5   Arguments scientifiques - Pourqui a ete necessaire la construction de pyramides et longues tunnels souterains de centaines de milles de kilometres longueur
2.5.1   Arguments scientifiques - Le reseau souterain de tunnels du Perou et Ecuador
2.5.2   Arguments scientifiques - D'autres reseaux de tunnels et galerie similaires sur la Terre -
2.5.3   Arguments scientifiques - Les pyramides dans le monde et leur vrai but (recueil extrait d’autres publications - commentaire)
2.6   Arguments scientifiques - Pourquoi, jusqu'a present, on n'a pas pu apprendre d'ou decollent la plus part des OVNIS
2.7   Arguments scientifiques - Pourquoi les avions et les bateaux disparaissent dans le triangle des Bermudes et au Japon.
2.8   Arguments scientifiques - L'Atlantide engloutie?
2.9   Arguments scientifiques - Pourquoi sur la colline Magura Bacaului (Roumanie) - Les voitures montent seules

2.4.10 D’AUTRES ARGUMENTS SCIENTIFIQUES – POURQUOI L’AXE DE LA TERRE EST INCLINEE PAR RAPPORT DU PLAN DE SON ORBITE ELIPTIQUE AVEC 23 DEGRES ET 27 MINUTES

La Terre a son axe de rotation inclinée en premier et le plus important lieu afin d’illuminer, réchauffer et faire apparaître la vie sur la surface intérieure de la Terre.

Aussi, dans ce mode l’apparition des quatre saisons devient possible, l’apparition d’une différence de potentiel électrique, l’apparition des pôles magnétiques comme une circulation permanente de l’eau et de l’air sur toute la surface de la Terre, la formation des pluies par l’évaporation de l’eau, et implicitement des nuages, l’isolement zonale et l’apparition des décharges électriques par des éclaires et toners et, des phénomènes qui s’entremêlent et se conditionnent réciproquement par un éternel mouvement, grâce à l’énergie reçue continuellement par les radiations du Soleil.

On peut constater facilement de l’Annexe 1, figure no. 2 (a, b, c) que la valeur de l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre n’est pas due à cause du hasard et cela si on se réfère par exemple à la situation presque similaire rencontrée dans le cas de la planète Mars qui a plusieurs similitudes avec la Terre comme sont ;

-          la planète Mars tourne autour de son axe une fois toutes les 24 heures et 37 minutes pendant que la Terre a une durée de rotation de 24 heures et 56 minutes.

-          un jour martien est seulement avec 41 minutes plus longue (un jour martien = 1,03 jours terrestres) mais le jour et la nuit alterne dans le même mode

-          l’inclinaison de l’axe de rotation de la planète Mars envers son plan elliptique a des valeurs rapprochées avec l’inclinaison de l’axe de rotation de la terre, étant un peu plus grand, respectivement de 24 degrés et 48 minutes (et non par hasard l’inclinaison de l’axe de la planète Mars est un peu plus grande, comme je le mentionnerai plus bas).

-          Sur Mars existe à cause de ce qu’on a dit plus haut, quatre saisons comme sur la Terre.

      Si on analyse plus attentivement et on tenait compte du fait que la planète Mars se situe à une distance un peu plus grande face au Soleil par rapport à la Terre, on peut facilement constater logiquement que; directement proportionnel l’axe de rotation de la planète Mars a une valeur d’inclinaison un peu plus grande afin de faire possible une illumination uniforme de cette dernière et une irradiation uniforme (captation uniforme de la chaleur reçue du Soleil et directement proportionnel à cause de la distance grande, et dans une quantité équivalente avec la quantité équivalente avec la chaleur que notre Terre reçoit) tant sur sa surface externe que sur la surface interne.

Mais le plus important facteur qu’on a prévu, est dû au fait que la planète Mars ayant aux pôles un champ magnétique d’une intensité plus réduite que la Terre, la trajectoire rectiligne des rayons solaires sera changée (le phénomène de réflexion de la lumière comme radiations de nature électromagnétique) proportionnel dans une mesure plus petite. Si l’axe de rotation de la planète Mars avait eu une inclinaison disons égale avec celle de la Terre, alors dans cette situation, le degré d’illumination et irradiation de la surface intérieure de la planète Mars aurait été plus réduit.

Tenant compte que cela n’est pas au hasard mais on peut indirectement conclure que la planète Mars a été habitée sur sa surface intérieure et jusqu’à la preuve contraire on pourra croire grâce aux explorations sur place faites avec des nouvelles et modernes moyens de déplacement entre deux corps célestes, qu’on peut retrouver des formes de vie et pourquoi pas, même des être semblables avec les hommes sur d’autres corps célestes de notre système solaire.

Il ne faut pas non plus nier la durée des saisons et de l’année martienne qui a 687 jours terrestres justement pour le fait que les dimensions de la planète sont plus réduites, la distance envers le Soleil est plus grande (approximativement 228 millions de km) face à la distance Terre-Soleil (150 millions de km) en imposant une stabilité du climat de ces quatre saisons par une inertie thermique plus grande.

En liaison avec ce qu’on a dit plus haut, il y a trop de coïncidences entre les deux planètes voisines, pour croire que c’est le hasard ce qui indirectement ne fait qu’appuyer que sans Dieu tout peut se détruire dans une seconde, un simple ordre étant plus que suffisant pour permettre à une super-civilisation de nous laisser au hasard pouvant ainsi nous détruire tous, - irrémédiablement – car au stade de développement et connaissance atteint, comparativement, - on est dans le stade des enfants et on n’est pas arrivé à connaître quel moyen utiliser pour se déplacer plus vite, plus sûr et mieux d’une place à une autre – à l’échelle de système planétaire, ne parlant plus au niveau de notre Galaxie.

De ce qu’on a dit plus haut, soutenir que la planète Mars est un corps céleste plein, représente une conception erronée.

L’affirmation ci haute a été faite en base d’une logique élémentaire et je ne l’aurais pas faite si par exemple l’ongle d’inclinaison de l’axe de rotation de la planète Mars avait eu une valeur plus petite que la valeur de l’ongle d’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre face à son plan elliptique sur lequel il tourne autour du Soleil et si on n’avait pas découvert sur la surface de celle-ci des pyramides comme des véritables „balises" qui signalent des voies de communications directes souterraines entre la surface extérieure et la surface intérieure de la planète Mars.

Toujours est-il que les valeurs des ongles d’inclinaison des axes de rotation de la Terre et de la planète Mars sont étroitement liées avec les positions respectivement les distances auxquelles se situent celles-ci par rapport au Soleil et ne peuvent pas être dues au hasard mais plutôt le fruit d’une réflexion intelligente qui désire que les surfaces intérieures puissent être habitables.

En base de ces raisonnements on peut affirmer d’une façon logique que ce système efficient d’utilisation d’un corps céleste sur ses deux surfaces (la surface extérieure et la surface intérieure) peut être en fait un système universel, répandu et pratiqué dans plusieurs systèmes solaires dans lequel gravitent des planètes tant dans notre galaxie comme dans d’autres Galaxies de l’Univers observable.

Pour cela considère que c’est bien de tenir compte de cela et d’analyser plus attentivement par les astronomes et les chercheurs les valeurs des ongles d’inclinaison des axes de rotation des corps célestes par rapport au plan de l’orbite et avec la position (direction) de laquelle la planète respective reçoit de l’énergie pour pouvoir identifier ainsi la possibilité de l’existence de la vie en premier lieu sur les surfaces intérieures de ces planètes.

J’affirme cela car toute civilisation plus avancée technologique (par ex., plus avancée qu’on se trouve à l’heure actuelle) logiquement et efficient choisirait tout d’abord la surface habitable de l’intérieure de la planète pour les raisons mentionnées plus bas ;

-          les communications de toute sorte ne peuvent pas être réceptionnées ou interceptées de l’extérieur à cause du puissant champ magnétique des vides d’entrée qui perturbent, déforment et au final j’efface toute onde de nature électromagnétique émise d’une station d’émission trouvée sur la surface intérieure de la planète respective.

-          une civilisation qui vit et se développe sur la surface intérieure d’une planète est mise en premier lieu à l’abri en face des dangers provenus de l’univers soit de certains météorites plus grands, soit artificiellement de la part des possibles civilisations aux intentions agressives bien que d’après mon avis, le mot agressif quand il s’agit de culture et d’un degré de civilisation haut, celui-ci perd le sens.

-          aussi, la soi dite civilisation sera mise à l’abri devant des radiations qui proviennent du Soleil du système planétaire respectivement (ex. les ondes de nature électromagnétique ayant des fréquences dangereuses pour la santé des humains), rentrent plus difficilement ou pas du tout par les orifices d’entrées des pôles (ex. les radiations des ondes gamma), les plantes et les animaux étant ainsi touchées dans une mesure plus petite par ces radiations dangereuses.

Ces états nous font penser qu’au début de la Bible au chapitre "Création" respectivement le fait que tant dans notre Galaxie tant dans l’Univers observable existe des Civilisations qui au long du temps sont arrivées à pouvoir contrôler et manipuler des forces et des énergies difficilement à nous les imaginer, les mots fantastiques ou magie étant dans cette situation assez modestes en comparaison avec la réalité environnante continuellement indifféremment de la direction analysée.

Continuer à nous considérer „uniques” n’est pas favorable pour nous parce que cela nous fera reculer et à l’avenir on accordera plus d’importance aux phénomènes et événements en oubliant de les re-analyser lorsque des situations similaires apparaissent.

Comme un exemple dans ce sens, je vous recommande par anticipation de lire avec beaucoup d’attention le neuvième chapitre de ce livre.

Concernant la possibilité de l’existence de la vie sur d’autres corps célestes tant à présent qu’au passé, ont été consigné au fur du temps, mais aussi des récits et des découvertes de date récente, certaines descriptions et découvertes tels comme sont par exemple, des aspects décrits dans le livre „Le système occulte de domination du monde”, auteur, Os. Kuhlen, Maison d’Edition Saeculum I.O. – Bucarest, 2001, - diverses récits sur lesquels j’insisterai et je commenterai par des commentaires intercalés dans le texte, et on pense que ce mode d’abordage, comme suit ;

En 1976, des sondes cosmiques américaines Viking 1et Viking 2 sont arrivées près de la planète Mars d’où ont transmis sur la Terre approximativement 300.000 photos, qui ont été stockées ultérieurement dans la mémoire des ordinateurs du Centre national de données concernant l’espace cosmique de Greenbelt – Maryland – SUA.

Certaines bizarreries du relief, remarquées encore depuis 1972, lors de l’occasion de la mission Mariner 9, apparaissaient encore, mais cette fois-ci étaient plus claires. Initialement on a essayé de les ignorer, mais, en 1980, Vincent Di Pietro et Gregory Molenaar, des spécialistes en ordinateurs, utilisant des programmes spéciaux de raffinage des images, ont obtenu des résultats si spectaculaires et troublants qu’ils apparaissent comme étant impensables.

Comme le montre Sorin Ştefănescu dans son œuvre Le Défi du Temps, dans Sidonie Région (63x58 km2), ils ont mis en évidence la présence d’un rocher qui a un contour semblable à une tête humaine.

La gigantesque figure (1500 m diamètre) regarde vers le ciel, mais dans la lumière du Soleil on observe clairement les creux des yeux, le nez, la bouche, le menton et les cheveux coupés. En améliorant un peu plus la fidélité du procédé d’analyse, les deux chercheurs ont réussi à rendre visible non seulement les globes oculaires et le contour de la pupille, mais l’expression mélancolique de la bouche.

Ultérieurement, toujours dans la zone nommée „Mars Utopie”, Di Pietro a identifié une autre figure humaine. Les spécialistes NASA affirment que jusqu’à présent, sur la surface de la planète rouge ont été découvertes environ 10 figures humaines creusées dans la pierre.

Les photos travaillées à l’ordinateur par le dr. M. J. Carlatto et présentées aux reporters en 1986, sont si claires, de sorte que dans les bouches entrouvertes des statues peut être vue la denture.

Pour que le tableau soit complet, à 15 km distance de la tête de Cydonici Region, Di Pietro a mis en évidence plusieurs structures gigantesques symétriques, de forme pyramidale, ayant des contours parfaitement symétriques, précisément orientées.

L’une d’entre elles, partiellement ruinée, montre l’existence d’une large chambre carrée, placée en profondeur.

Les images ont été transmises par la sonde Viking-1 (qui a survolé la planète à une hauteur de 1891 km dans l’hémisphère nordique), le 31 juillet 1976.

Ultérieurement, la sonde spatiale Observateur, envoyée, le 24 août 1993, pour photographier l’image de la planète Mars et des pyramides, a disparu d’une façon complètement mystérieuse.

COMMENTAIRE;

Concernant la nécessité de la construction des pyramides, bien que ces aspects soient présentés dans ce livre dans un chapitre distinct (Le Chapitre 5) j’affirme par anticipation qu’en fait toutes les Grandes Pyramides construites sur certaines planètes ont le rôle de montrer la position des voies d’accès et communication entre la surface extérieure de la planète respective et la surface intérieure habitable de la planète respective.

Richard Hoagland, en étudiant les copies originales des photographies analysées par Di Pietro et Molenaar, a réussi à identifier des structures, qu’il a considéré typiques aux ruines d’une ville.

Ainsi, dans la partie ouest de la gigantesque figure humaine, il semble exister un bizarre réseau de lignes, déroulé sur une surface d’environ 1,5 x 2,5 km2, semblable avec la carte d’une métropole, que le publiciste allemand Johannes von Buttler l’a nommée la cité des incas.

Une structure, qui peut être considérée comme artère principale, qui conduit directement vers la sculpture et qui est placée d’après une axe nord-est – sud-ouest.

En utilisant les données supplémentaires fournies par William Ward, expert dans l’étude de la planète Mars et engagé NASA à Jet Propulsion Laboratory, Pasadena, Hoagland est arrivé à la conclusion que, il y a 1,5 millions d’années, la figure humaine se trouvait à la même position avec les pôles de Mars, exactement sur la direction nord-sud, autrement dit, pendant le plus long jour de l’année martienne, un habitant se trouvant au centre ville aurait pu voir le Soleil en se levant même sur la gigantesque figure.

La même ligne de solstice, affirme le chercheur, se trouve au sommet de la pyramide principale, découverte par Di Pietro, et les contours observés proche de l’équateur Martien, semble des grandes roues de chariot, chacune ayant un moyeu et cinq rayons.

Des chevilles, des pyramides, la cité des Incas, des roues…que ce soient des simples illusions optiques ou des traitements plus ou moins intentionnés, effectuées à l’aide de l’ordinateur, des neutres images originales ?

Auraient-elles, peut-être, le sort de célèbres canaux découverts par Schiaparelli et admirés de la Terre depuis de dizaines d’années, mais pratiquement invisibles de proche ? Les critiques à l’adresse des hypothèses formulées par Molenaar, Di Pietro, Hoagland et d’autres sont très virulentes, mais l’argumentation si faible, de sorte que l’un des principaux opposants Harold Masursky, expert en géologie Martienne et le chef du groupe des chercheurs qui ont choisi les lieux de descentes pour les sondes Viking, a été obligé d’admettre: „Je ne peux affirmer que d’autres civilisations n’ont pas exister, mais je ne peux affirmer que cela aurait été possible”.

 Quelques éléments sont certains :

1.      NASA n’a publié aucune information relevante sur les supposées structures artificielles observées sur la surface de Mars;

2.      NASA n’a pas informé officiellement les informations qui circulent concernant à l’existence des structures respectives;

3.      Dans la bibliothèque de données NASA sont restées des images du sol martien qui n’ont pas été analysées

4.      Les plus récentes recherches indiquent le fait qui „l’eau libérée sur Mars suite aux phénomènes volcaniques est estimée comme étant l’équivalent d’une couche de liquide gros de 46 mètres, qui couvrirait toute la planète. La valeur tient compte seulement de l’activité volcanique. Le volume maximum d’eau semble être enregistré il y a 3-4 milliards d’années et coïncide approximativement avec l’apparition de grandes canions. Les résultats renforcent l’idée que, dans le premier tiers de son histoire, Mars a été une planète humide”.

COMMENTAIRE;

      Les arguments qu’on détient démontrent de plus le fait que la solution scientifique du problème concernant la possibilité de l’existence des civilisations célestes soit due tant à l’impossibilité de trouver un fondement scientifique théorétique et adéquat jusqu’à présent tant à l’ignorance préméditée de ce sujet par ces facteurs responsables, la raison le plus fréquemment invoqué officiellement étant que les aspects visés sont de nature à affecter la sécurité nationale des états.

La série entière d’arguments, partant des observations astronomiques directes, des observations faites sur place tant qu’on a pu et qu’on a publié comme suite aux sondes spatiales et des équipages humains qui sont arrivés sur la lune, arrivant à réceptionner des signalent intelligents d’origine inconnue, des visites qu’on reçoit assez souvent à l’aide de leurs moyens de déplacement ultra performantes, tout cela, nous donnent des indices clairs que les supposées civilisations célestes ne doivent pas être recherchées dans les plus éloignées coins de la Galaxie, mais peuvent être trouvées (l’une étant même notre „voisine” depuis très longtemps, sur la vaste, étendue et ensoleillée surface intérieure de la Terre), et d’autres pouvant se trouver, pourquoi pas, même dans le voisinage pas trop éloigné de notre planète.

D’ailleurs de ce qu’on a observé et consigné jusqu’à présent sur ce thème, il semble que notre satellite naturel LA LUNE ne fait pas exception de cette règle.

Pour une meilleure édification sur ce thème, j’ai trouvé bon de présenter ci-bas quelques extraits du regretté pilote et écrivain roumain, Doru Davidovici dans le livre „des Mondes Galactiques” Maison Scientifique et Encyclopédique Bucarest – 1986, comme suit;

Dr. Gordon Mc Donald chercheur principal de NASA, démontre dans un article apparu dans la revue „Astronautics” dès le numéro du juillet 1962, que par l’analyse des données concernant la différence observée entre les mouvements réels de la lune sur l’orbite et les mouvements calculés, on peut tirer la conclusion que le satellite naturel de la Terre est plutôt vide à l’intérieur !

Dans son livre intitulé „notre Lune”, l’astronome britannique dr. H. P. Wilkins déclare : „Toutes les données convergent vers l’hypothèse qu’au delà de la profondeur de 30-50 km, la Lune présente, plus ou moins, des espaces libres – de grandes cavités, des tunnels sous lunaires, des creux – liés par la surface par des fissures…”

Le volume approximatif de ces vides est probablement de 36 millions km3.

Dr. Harold Urey considère que sous l’écorce de la Lune il y a des zones avec une densité plus petite, éventuellement des vides ; et dr. Sean C. Solomon, du prestigieux Institut Technologique de Massachusetts, a déclaré que des résultats obtenus des différentes recherches effectuées au cadre du programme Apollo a résulté la possibilité que la Lune soit vide à l’intérieure. … … …

Les cratères lunaires produits par la tombée des météorites sont aussi étranges – très étendues, et si peu profonds face à leur surface ! Comme si les météorites auraient rencontré dans leur chemin par l’écorce de la Lune; une croûte très dure. Conformément à la théorie de ces deux académiciens soviétiques, M. Vasin et A. Scerbakov, cela est du au fait que les météorites s’arrêtent dans "l’écorce blindée" avec lesquels les constructeurs ont renforcé la Luna, à 20-40 km sous l’écorce.

Les immenses cirques lunaires, loin d’être des vieux cratères volcaniques ouverts sur la surface de la Sélène, constituent en réalité les lieux où ceux qui ont aménagé l’intérieure de la Lune, ont pompé dans l’extérieur des roches et des métaux liquéfiés, pour produire des vides intérieurs nécessaires et pour blinder la surface de l’extraordinaire navette interstellaire, intergalactique.

Dans la zone des cirques, le gradient gravitationnel est plus grand ; les deux savants soviétiques considèrent que le fait est du à l’équipement, au combustible et aux matériaux de toute sorte se trouvant sous l’écorce dans les vides crées.

Le grand pourcentage de métaux contenu dans les roches lunaires et considéré étrange par les soviétiques et américaines, sera du à l’utilisation des métaux pour renforcer la résistance de l’écorce lunaire avec l’impacte avec les météorites – dans son long voyage spatial.

L’étage de come-back d’un module lunaire (Apollo 12), a déjà eu une mission ingrate – après avoir quitté son équipage, a été laissée tomber sur la surface de la Lune.

Nos séismographes installés sur l’écorce de la lune ont indiqué des vibrations, pendant 55 minutes, en fait un signal avec l’amplitude maximale 7 minutes juste après et la baisse de celui-ci jusqu’à la disparition totale. Les spécialistes américains en séismologie ont considéré que; „dans l’intérieur de la Lune quelque chose conduit exceptionnellement les vibrations”.

 En tout cas, la Lune a réagit à la frappe comme un corps vide à l’intérieure.

La mission Apollo 13, ratée de certains points de vue, a constitué une immense réussite de la confrontation directe homme Univers.

A côté de cela (parce qu’elle était aux environs), la troisième échelle de la raquette Saturne V a été dirigée de tomber sur la Lune ; l’impacte a été équivalent avec l’explosion de la 11ème tonne T.N.T.

Cette fois-ci, les séismographes ont transmis que la Lune a vibré pendant 3 heures et 20 minutes, jusqu’à 40-60 km profondeur. L’explication des ces signales si longs correspondraient à la théorie des deux savants soviétiques : La Lune est vide à l’intérieur et a une "écorce métallique" épaisse.>

De même s’est passé avec la troisième marche de la raquette Saturne qui a porté sur la Lune l’expédition Apollo 14. La Lune a vibré „comme un clocher” pour plus de 3 heures, jusqu’à la profondeur de 40-60 km sous l’écorce terrestre.

La conclusion ? „Dans l’intérieure de la Lune il existe quelque chose très grand, qui transmet les vibrations très bien”.

Le blindage métallique est du pour protéger ceux qui se trouve à l’intérieure de la navette cosmique Lune ?

Wernher von Braun déclare que la vitesse des ondes séismiques propagées dans la masse de la Lune semble argumenter jusqu’à 20 km en profondeur, après ça baisse brusquement. Comme si les ondes traversaient une couche de matériel très dense, pour pénétrer après dans une zone avec une densité très courte. … … …

Les séismographes installés sur l’astre sur lequel on ne sait plus quoi croire, ont enregistré dans leurs bandes et transmis sur la Terre, les séries de vibrations bizarres et les ébranlements qui, en comparaison avec les enregistrements des séismographes de la Terre, conduisent vers l’hypothèse de certaines activités séismiques (de nature volcanique) à l’intérieure de la Lune.

Les tremblements lunaires – ou autre chose, correspondant à des enregistrements de mouvements séismiques – ont été enregistré à 650-850 km sous l’écorce lunaire – beaucoup plus profond que les sources de tremblement de notre planète.

Ce qu’on a nommé comme „dérangements séismiques” se répètent avec une précision „très grande” et semble se produire dans des positions de maximale et minimale distance par rapport à la Terre; quand l’effet de marée produit par la Terre sur son supposé satellite produit des déformations de l’écorce lunaire, celle qui est pleine de cratères, mers, hémisphères blanches et des rayons inconnus.

Ces vibrations sont considérées comme ayant une cause immédiate purement naturelle, et peuvent être la conséquence du simple fait que l’écorce de la Lune, plus épaisse, est plus rigide que la croûte de la surface de la Terre, et les possibilités que cette croûte rigide ne soit pas trop épaisse, et les déformations soient du à son ondulation sur la couche intérieure très dure – la couche métallique de protection de l’intérieure de la Lune.

Mais NASA a réceptionné des séismographes installés sur la Lune des signaux séismiques étranges, provoqués par des causes qui n’aurait pas quoi chercher dans cet endroit, de la même manière comme, des tas de choses qui ne devraient pas se passer, arrivent pourtant sur la Lune.

Ces signaux sont identiques ; le journal New York Times notait : „il est remarquable le constat fait récemment, que chaque séismographe transmet des enregistrements complexes, mais identiques de la Lune”.

Remarquable, parce que – les sismologues disent – les enregistrements peuvent être identiques seulement au cas où, à cause du traitement artificiel de l’intérieur, le mode de propagation des ondes séismiques serait le même.

Ou, quand dans cet intérieur travaillé artificiellement se passe, périodiquement, des actions similaires et seulement ces actions. Il est difficilement à croire que les choses se passent deux fois de la même manière dans la nature. Que les déformations provoquées par les mouvements de marée se répètent identiquement, que les tremblements lunaires suivent, en détail, le même algorithme. Il est difficilement à croire aussi que quelqu’un la bas, en haut, fait quelque chose qui ébranle notre Lune.

Que notre Lune n’est même pas notre Lune.

COMMENTAIRE;

De ce qu’on a dit, en profitant de cette occasion je lance l’hypothèse suivante;

Dans la situation où on suppose que la LUNE est: „aménagé” à l’intérieur, alors il est à supposer que l’énergie qui résulte des déformations cycliques peut être captée et utilisée, car elle est reçue „gratuitement” par l’effet de marée.

Par exemple, il suffit de faire une liaison (mécanique ou électrique par le phénomène de résonance) entre deux points diamétralement opposés et disposés à l’intérieur et des variations (déplacements et rapprochements) entre elles, - qu’on capte une chose mécanique utile qui peut être transformé en énergie sous des formes différentes.

D’ailleurs, le même résultat peut être obtenu, (si cela ne se passe pas déjà) au cas de la surface intérieure et habitable de la Terre (il existe des récits comme des „contes” concernant l’utilisation sur une grande échelle d’un système de transport à traction électrique).

De toute façon „ces états” plutôt ou plus tard détermineront un courant d’opinion qui aura le but de faire réfléchir les hommes de sciences de partout.